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La Banque africaine de développement (BAD) et le Ministère de l'Économie des Finances et du Développement (MINEFID) à travers la Direction Générale de l’Economie et de la Planification (DGEP) organisent du 02 au 05 novembre 2021 à Ouagadougou un atelier de renforcement des capacités au profit des unités de gestion des projets financés par la BAD au Burkina Faso.
Les travaux de cette session de formation ont débuté le mardi 02 novembre avec une cérémonie d’ouverture présidée par Madame Edith Clémence YAKA ministre déléguée chargée du budget et en présence du responsable pays de la Banque africaine de développement au Burkina Faso Monsieur Pascal YEMBILINE et Monsieur Mahamadou BOKOUM, Directeur Général adjoint de l’économie et de la planification.
Cette session de formation permettra aux participants d’adopter les meilleures pratiques de gestion fiduciaire des Projets financés par la BAD au Burkina Faso. Aussi, elle va permettre de renforcer leurs connaissances et leur expertise en termes de savoir-faire organisationnel, d’exécution budgétaire des projets et programmes. Durant cet atelier, les formateurs vont passer en revue les principes de la gestion par résultats et les besoins en suivi d’indicateurs de performance tant au niveau des coûts et résultats que de l’efficience des processus administratifs.
Cet atelier est aussi cadre d’écoute des unités de gestion des projets financés par la BAD, afin de mieux comprendre les facteurs de blocage et problèmes liés à l’exécution des projets et programmes dont la mise en œuvre est assurée par les participants, a indiqué Pascal YEMBILINE, responsable pays de la Banque africaine de développement au Burkina Faso.
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Développement durable et situation des enfants au centre des échanges
Dans le cadre du processus d’élaboration du programme de coopération entre le Burkina Faso et le Fonds des Nations unies pour l'enfance (UNICEF) pour la période 2023-2027, la Direction Générale de l’économie et de la planification à travers la direction du suivi et de l’évaluation des politiques économiques et sociales a pris part à la Session de consultation externe qui s'est tenue du 25 au 26 octobre 2021 à Ouagadougou.
Cette session a réuni l’ensemble des parties prenantes du programme de Coopération UNICEF-Burkina Faso, notamment les autorités gouvernementales, les organisations de la société civile, les partenaires techniques et financiers ; ainsi que secteur privé. L’objectif est de recueillir les points de vue des parties prenantes sur la note de synthèse de l’analyse de la situation des enfants notamment l’analyse des forces, faiblesses, opportunités et menaces. Cette rencontre est également un cadre d’échanges sur les thématiques relatifs au Développement durable et à la situation des enfants.
En rappel, le Burkina Faso et l’UNICEF se sont engagés dans un cycle de programme de cinq ans qui s’achève en 2022. Le processus d’analyse des progrès réalisés vers l’atteinte des résultats pour les enfants ainsi que les différentes contraintes qui entravent cette progression est en cours et aboutira à l’élaboration d’un nouveau programme de coopération pour la période 2023-2027.
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Dans le cadre du renforcement de la qualité de la gestion des ressources humaines, la Direction Générale de l’Economie et de la Planification (DGEP) à travers son service des ressources humaines (SRH), tient un atelier de formation-action sur la pesée des postes qui, consiste, à attribuer à chaque fonction (ou emploi repère), un score, c'est-à-dire un poids.
L'objectif de cet atelier est d'effectuer la pesée des postes de la DGEP. De manière spécifique, il s'agit de renforcer les capacités des participants en matière des pesées des postes de travail ; évaluer la charge de travail par poste de travail de la DGEP, élaborer le tableau prévisionnel des emplois et des effectifs 2022-2024 de la DCEP.
Cette session de formation réuni les représentants des structures du niveau central et du niveau déconcentré de la DGEP. Elle se déroule sous forme d'exposé et de production du tableau prévisionnel des emplois et des effectifs.
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Le rapport de la contribution des OSC, partis politiques, des chefs coutumiers et religieux, et des ONG à la réalisation de l'ENP Burkina 2025 est fin prêt
Dans le cadre de l’évaluation technique de l’Étude nationale Prospective (ENP) « Burkina 2025 », la Direction Générale de l’économie et de la planification (DGEP) a procédé le lundi 25 octobre 2021 à la clôture des travaux de l’atelier d’élaboration du rapport d’évaluation de la Contribution des OSC, partis politiques, chefs coutumiers et religieux, et des ONG à l’atteinte de la vision formulée dans l’ENP dont l’un des objectifs est, d’orienter, les plans , et programmes de développement à moyen et long terme au Burkina Faso.
Les travaux de l’atelier ont permis aux participants issus des OSC, de la Majorité Présidentielle, de l’opposition politique, des leaders religieux et coutumiers de faire des observations et suggestions pour l’atteinte de la vision formulée dans l’Étude nationale Prospective (ENP) « Burkina 2025 ». De façon spécifique, il s’est entre autres agit d’identifier les actions menées directement par ces différents acteurs (OSC, majorité présidentielle, opposition politique…) pour faire du Burkina Faso une Nation solidaire, de justice, de progrès qui consolide son respect sur la scène internationale.
Madame Pauline Zouré, Ministre déléguée en charge de la Prospective qui a présidée la clôture des travaux a indiqué que les orientations et recommandations issues de ces travaux seront prises en compte en vue de l’écriture de la prochaine ENP.
En rappel, le gouvernement burkinabè a exprimé depuis 1994, sa volonté de réaliser une étude prospective pour orienter les plans et programmes de développement à moyen et long terme. Cette étude dénommée « Étude nationale prospective (ENP) "Burkina 2025" » a démarré en 1999 et a été validé en 2005. Elle a permis de définir la vision consensuelle de développement à l'horizon 2025 qui s’énonce comme suit : "Le Burkina Faso, une nation solidaire, de progrès et de justice qui consolide son respect sur la scène internationale". Cette vision inscrit désormais la planification du développement sur le long terme afin d’impulser de véritables changements en termes d’impacts dans la mise en œuvre des différentes politiques de développement.
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La Direction Générale de l’Economie et de la Planification (DGEP) avec l’appui de l’UNICEF a initié le vendredi 22 octobre un atelier de validation de l’étude sur la pauvreté multidimensionnelle des enfants au Burkina Faso. L’ouverture des travaux a été présidée par Paul Balma, Chargé d’études du Directeur Général de l’économie et de la planification.
L’étude sur la pauvreté multidimensionnelle des enfants au Burkina Faso a utilisé la méthodologie d’analyse des privations multiple (MODA) développée par le Bureau de recherche de l’UNICEF. Cette méthodologie consiste à prendre l’enfant (et non le ménage) comme unité d’analyse et met l’accent sur le bien-être des enfants en reconnaissant les différents besoins à différentes étapes de leur vie. En outre, l’analyse comprend des privations que subissent les enfants et qui se chevauchent.
Se basant donc sur cette méthodologie, l’étude révèle que la pauvreté multidimensionnelle des enfants au Burkina Faso touche plus la région du Sahel, bien que cette partie du Burkina ne soit pas classée dernière en termes de pauvreté monétaire.
Cependant, cette région occupe la dernière place en termes d’accès des enfants aux services de base comme l’eau potable, les installations sanitaires et d'hygiène, les soins de santé essentiels, l’éducation et l’énergie…), raison pour laquelle elle est la plus touchée par la pauvreté multidimensionnelle des enfants au Burkina.
Gustave Nébié économiste qui a pris part aux travaux a indiqué que la pauvreté multidimensionnelle n’est pas la pauvreté monétaire.
« Habituellement quand on mesure la pauvreté on regarde quel est le revenu du ménage. Mais il y a une autre démarche qui consiste à dire qu’au lieu de regarder le revenu du ménage, regardons les différents éléments du ménage, notamment les enfants. Selon cette méthode, ce n’est plus le revenu des enfants qu’on regarde, mais on cherche à savoir si les enfants sont privés d’éducation, de santé, de bien être etc. Par exemple si un enfant ne va pas à l’école on va dire qu’il est privé dans la dimension éducation, si un enfant n’a pas accès à un centre de santé, on dira qu’il est privé dans la dimension santé. C’est sur la base des enquêtes INSD qu’on arrive à sortir ces résultats »
Les travaux de cet atelier qui réunit des spécialistes en Politiques sociale, des statisticiens et économiste et spécialiste en protection des enfants permettront d’examiner et d’amender le rapport provisoire sur la pauvreté multidimensionnelle au Burkina Faso.
En rappel, l’élimination de la pauvreté sous toutes ses formes et dans toutes ses dimensions, constitue un grand défi auquel le Burkina Faso fait face. Le pays s’est engagé dans l’élaboration et la mise en œuvre de politiques et programmes visant à atteindre l’objectif de réduction de la pauvreté sous toutes ses formes comme indiqué dans le programme de développement durable des Nations Unies à l’horizon 2030.
- La DGEP élabore la note méthodologique sur le processus de localisation des ODD
- Enquête de perception des populations à l’atteinte de la vision de l’ENP « Burkina 2025 »
- Renforcement des capacités des points focaux pour mieux communiquer
- Dixièmes assises de l’Assemblée générale des projets et programmes de développement