Dans le cadre du renforcement de la qualité de la gestion des ressources humaines, la Direction Générale de l’Economie et de la Planification (DGEP) à travers son service des ressources humaines (SRH), tient un atelier de formation-action sur la pesée des postes qui, consiste, à attribuer à chaque fonction (ou emploi repère), un score, c'est-à-dire un poids.
 
L'objectif de cet atelier est d'effectuer la pesée des postes de la DGEP. De manière spécifique, il s'agit de renforcer les capacités des participants en matière des pesées des postes de travail ; évaluer la charge de travail par poste de travail de la DGEP, élaborer le tableau prévisionnel des emplois et des effectifs 2022-2024 de la DCEP.
 
Cette session de formation réuni les représentants des structures du niveau central et du niveau déconcentré de la DGEP. Elle se déroule sous forme d'exposé et de production du tableau prévisionnel des emplois et des effectifs.
 
La Direction Générale de l’Economie et de la Planification (DGEP) avec l’appui de l’UNICEF a initié le vendredi 22 octobre un atelier de validation de l’étude sur la pauvreté multidimensionnelle des enfants au Burkina Faso. L’ouverture des travaux a été présidée par Paul Balma, Chargé d’études du Directeur Général de l’économie et de la planification.
 
L’étude sur la pauvreté multidimensionnelle des enfants au Burkina Faso a utilisé la méthodologie d’analyse des privations multiple (MODA) développée par le Bureau de recherche de l’UNICEF. Cette méthodologie consiste à prendre l’enfant (et non le ménage) comme unité d’analyse et met l’accent sur le bien-être des enfants en reconnaissant les différents besoins à différentes étapes de leur vie. En outre, l’analyse comprend des privations que subissent les enfants et qui se chevauchent.
Se basant donc sur cette méthodologie, l’étude révèle que la pauvreté multidimensionnelle des enfants au Burkina Faso touche plus la région du Sahel, bien que cette partie du Burkina ne soit pas classée dernière en termes de pauvreté monétaire.
 
Cependant, cette région occupe la dernière place en termes d’accès des enfants aux services de base comme l’eau potable, les installations sanitaires et d'hygiène, les soins de santé essentiels, l’éducation et l’énergie…), raison pour laquelle elle est la plus touchée par la pauvreté multidimensionnelle des enfants au Burkina.
Gustave Nébié économiste qui a pris part aux travaux a indiqué que la pauvreté multidimensionnelle n’est pas la pauvreté monétaire.
 
« Habituellement quand on mesure la pauvreté on regarde quel est le revenu du ménage. Mais il y a une autre démarche qui consiste à dire qu’au lieu de regarder le revenu du ménage, regardons les différents éléments du ménage, notamment les enfants. Selon cette méthode, ce n’est plus le revenu des enfants qu’on regarde, mais on cherche à savoir si les enfants sont privés d’éducation, de santé, de bien être etc. Par exemple si un enfant ne va pas à l’école on va dire qu’il est privé dans la dimension éducation, si un enfant n’a pas accès à un centre de santé, on dira qu’il est privé dans la dimension santé. C’est sur la base des enquêtes INSD qu’on arrive à sortir ces résultats »
 
Les travaux de cet atelier qui réunit des spécialistes en Politiques sociale, des statisticiens et économiste et spécialiste en protection des enfants permettront d’examiner et d’amender le rapport provisoire sur la pauvreté multidimensionnelle au Burkina Faso.
 
En rappel, l’élimination de la pauvreté sous toutes ses formes et dans toutes ses dimensions, constitue un grand défi auquel le Burkina Faso fait face. Le pays s’est engagé dans l’élaboration et la mise en œuvre de politiques et programmes visant à atteindre l’objectif de réduction de la pauvreté sous toutes ses formes comme indiqué dans le programme de développement durable des Nations Unies à l’horizon 2030.
 
 
Les données collectées en cours de traitement
 
La Direction Générale de l’Economie et de la Planification (DGEP) avec l'appui technique de l’Institut National de la Statistique et de la Démographie (INSD) tient une rencontre technique de traitement d’apurement et de tabulation des données recueillies lors de l’enquête de perception de la population burkinabè à l’atteinte de la vision formulée dans l’Étude nationale prospective (ENP) "Burkina 2025" et les aspirations de celle-ci pour les 30 années à venir.
 
L’ouverture des travaux a été présidée par Dr Larba Issa KOBYAGDA Directeur Général de l’économie et de la planification.
 
Cette session de travail intervient après l’enquête de perception qui s’est déroulée du 17 Août au 20 Septembre 2021 auprès des populations. Elle réuni des experts statisticiens, des spécialistes de l’Evaluation des publiques économiques et sociales ainsi que des planificateurs. Les travaux permettront entre autres de récupérer les données restées dans les smartphones, d’effectuer des contrôles de cohérences, d’identifier et corriger les données aberrantes, d’élaborer les tableaux de base nécessaires à l’analyse et de calculer les indicateurs nécessaires à l’analyse.
 
Dans l’optique d’améliorer la planification de long terme, le gouvernement burkinabè a exprimé depuis 1994, sa volonté de réaliser une étude prospective pour orienter les plans et programmes de développement à moyen et long terme. Cette étude dénommée « Étude nationale prospective (ENP) "Burkina 2025" » a démarré en 1999 et a été validé en 2005.
 
Pour en savoir d’avantage sur l’Etude nationale prospective (ENP) « Burkina 2025 » cliquez sur l’un des liens
 
 
La Direction Générale de l’Économie et de la Planification (DGEP) à travers, la direction du suivi et de l’évaluation des politiques économiques et sociales (DSEPES) tient un atelier d’élaboration de la note méthodologique sur le processus de localisation des Objectifs de Développement Durables (ODD).
 
Cette rencontre technique réuni les spécialistes en Suivi et évaluation des politiques économiques et sociales. Elle se fixe pour objectif de répertorier et définir les cibles et les indicateurs ODD adaptés aux différentes régions du Burkina Faso. Les travaux de cet atelier permettront de faire l’état des lieux par région, de répertorier par région les cibles ODD et leurs indicateurs et d’identifier les cibles ODD afin de permettre leur prise en compte dans le processus de planification locale.
 
La localisation des Objectifs de développement durable est considérée comme le processus par lequel sont pris en compte les contextes locaux dans la réalisation de l’Agenda 2030, depuis la définition des objectifs cibles jusqu’à la détermination des moyens de mise en œuvre en utilisant les indicateurs de mesures et de progrès. A cet effet, reconnaitre et affirmer l’importance des ODD pour les collectivités locales dans la conception et la mise e œuvre des politiques de développement à l’intérieur des pays n’est qu’une première étape qui doit être suivie de l’intégration dans lesdites politiques et surtout de stratégies de localisation de ces objectifs ou de territorialisation de ces politiques.
 
En rappel, en septembre 2015, les Chefs d’Etat et de Gouvernement des 193 Etats membres de l’Organisation des Nations Unies (ONU), réunis à New York ont adopté l’Agenda de développement 2030 qui fixe 17 objectifs de Développement Durable (ODD).
 
Le Burkina Faso a procédé à la contextualisation des objectifs de développement notamment les cibles. Le pays a aussi procédé à une contextualisation des indicateurs afin de faciliter le suivi de la mise en œuvre des objectifs de développement durable.
 
 
 
 
La Direction Générale de l’Economie et de la Planification (DGEP) a organisé au profit de ses points focaux centraux et régionaux un atelier de renforcement des capacités pour une gestion efficiente de ses outils de communication. L’ouverture des travaux a été présidée par Dr Larba Issa KOBYAGDA Directeur Général de l’économie et de la planification qui avait à ses côtés, Souleymane BAMOGO, directeur régional de l’économie et de la planification de la Région des Hauts Bassins.
 
Cette rencontre a eu pour objectif de doter les points focaux SCRP de compétences, afin de gérer le dispositif de communication et d’information de la DGEP.
 
Le Directeur Général l’économie et de la planification Dr Larba Issa KOBYAGDA qui a présidé l’ouverture des travaux a indiqué que la DGEP est une structure de réflexion et de production de documents techniques en rapport avec les questions d'économie et de développement. Cette thématique nécessite une vulgarisation auprès des Partenaires techniques et financiers, du monde universitaire, des services de l'administration publique et privée et du grand public en général.
A ce titre, il est plus que nécessaire que les acteurs impliqués dans le dispositif de communication soient outillés pour mieux communiquer.
 
Par ailleurs, les participants ont bénéficié d'une séance de renforcement de capacité en technique d’écriture web et en reconnaissance des caractéristiques d’une bonne information à l’ère du Web 2.0. Ladite formation a été assurée par Tilado Apollinaire Abga, rédacteur en chef de l’Agence d’Information du Burkina (AIB).
 
La Direction générale de l’économie et de la planification est une structure centrale du Ministère de l’économie des finances et du développement. Elle a pour mission la formulation des politiques de développement et leur traduction en plans, programmes, la coordination et le suivi des politiques de développement économique et social ainsi que l’évaluation des programmes et projets de développement.